Dans un contexte de réduction des émissions de carbone et de préservation de l’environnement, le concept de micro-mobilité gagne en popularité. Un tel essor se comprend, étant donné les nombreux enjeux associés à la mobilité douce. Entre trottinettes électriques, vélos ou hoverboards, les options ne manquent pas. Comment ces méthodes de transport trouvent-elles leur place dans les villes ? Quels sont les exemples concrets de micro-mobilité urbaine ?
Découvrez le concept de micro-mobilité et ses enjeux
Les moyens de transport représentent l’une des principales sources de pollution en France et dans le monde. C’est justement pour contenir cet impact des moyens de transport dans les villes que le concept de micro-mobilité a commencé à se généraliser. La micro-mobilité est une mobilité douce, qui se caractérise par l’utilisation de véhicules légers et pratiques, essentiellement électriques. Il n’en demeure pas moins que la mobilité douce peut aussi être manuelle, individuelle ou partagée.
En pratique, la micro-mobilité se prête à des trajets courts, de moins de 10 km. Porte-étendard de ce nouveau concept, la trottinette électrique. Avec la trottinette et les autres moyens qu’elle utilise, la micro-mobilité répond à de multiples enjeux. De fait, la mobilité douce est synonyme de gain de temps et d’une réduction considérable de votre empreinte écologique.
Passez à la trottinette électrique, le futur de la mobilité en ville
Dans le cadre de la micro-mobilité, les trottinettes, qu’elles soient manuelles ou électriques, sont certainement les engins les plus utilisés. Comme vous le verrez si vous cliquez ici, la trottinette électrique, souvent privilégiée, se décline en plusieurs versions.
Elle offre une praticité remarquable pour un coût raisonnable. D’ailleurs, le marché des trottinettes connaît une croissance considérable depuis 2016, avec environ 1 million de modèles vendus cette année (Le Monde). Elles sont pratiques et faciles d’utilisation. Peu encombrantes, vous pouvez les transporter dans les transports en commun, et poursuivre ensuite votre trajet de façon autonome.
Une fois à destination, vous pouvez garer votre trottinette dans un espace réduit. De plus, elle est facile à manœuvrer et ne nécessite que peu d’efforts, notamment si vous optez pour un modèle électrique. Bien évidemment, l’argument le plus important en faveur de la trottinette repose sur son impact limité sur l’environnement, puisqu’elle peut être manuelle ou dotée d’un moteur électrique. Avec ces nouveaux véhicules (électriques) individuels, plus de bouchons et davantage d’autonomie.
Quelles sont les autres façons de se déplacer en ville ?
Outre la trottinette, d’autres engins à moteur ou non peuvent être utilisés dans le cadre de la mobilité douce. Bien sûr, nous pensons aux vélos électriques, lesquels gagnaient déjà en popularité dans un cadre purement sportif. Entre sport et besoin de mobilité, adopter un vélo électrique vous permettra alors de faire d’une pierre deux coups. Idéalement, misez sur un modèle avec un moteur au pédalier, plus pratique et adapté aux routes les plus difficiles. Gain de temps assuré !
Moyen de transport préféré de nombreux ados, l’hoverboard est aussi un engin de mobilité douce très utile. Inspiré du film Retour vers le futur, ces engins sont conseillés pour les très petites distances et les routes sans grand trafic, leurs roues étant trop petites. Sportif et amateur de sensations fortes ? Vous pourrez contribuer grandement à la micro-mobilité en privilégiant la gyroroue pour vos petits déplacements.